Short film Animation
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S’éloigner, étouffer, dissiper le mal… S’en aller loin de tout ce qui nous consume.
S’offrir de la douceur, voir à nouveau les couleurs, sentir un autre air que celui qui nous asphyxiait. Récit d’un être endolorit, qui s’est sauvé en laissant ses peines derrière lui.

Crédit :
Court film d’animation en 2D digital, image par image.
Réalisation : Iana Brezeky
Voix off : Lucien
Musique : Gabriel Jonas
Ingénieur son : Netta Ben Yair

L’œuvre que j’ai choisi de vous présenter est mon court film de graduation que j’ai entièrement produit par moi-même lors de la dernière année de ma technique au Cégep du Vieux-Montréal, où j’étudie encore aujourd’hui en animation, réalisé avec le support des professeurs et la musique de l’excellent compositeur Merlin Bertrand-Hamel spécialement pour mon film.
De la direction, au storyboard, au concepts, personnages, backgrounds, rough, clean, compositing, assemblage et finalement projection; c’était une réalisation que je n’aurais jamais cru pouvoir accomplir par moi-même dans ma vie.

Mon but étant de repousser ma créativité et mon imagination, il me fallait tout d’abord sortir des normes de l’animation imposées sur les étudiants et l’industrie, tout en respectant les contraintes du programme en place pour nous aider à mener ce projet à terme.

Les techniques d’animation sont infinies, et je n’avais qu’un temps limité pour produire un storyboard qui pourrait rendre y rendre justice, tout en satisfaisant ma curiosité et mon besoin d’expérimenter plusieurs méthodes. Après un été entier à explorer des styles graphiques, des médias variés et à produire des centaines de storyboard, j’ai finalement réussi à aboutir sur une combinaison d’animation 2D, 3D, de prise de vue réelle et une scène mixée de pseudo stop-motion qui serait réalisable dans le délai imparti du projet.
Avec la hausse de l’intelligence artificielle générative d’«art» et la destruction de l’art dans plusieurs pays sans soucis de son poids historique, je souhaitais toucher mon audience (et moi-même) avec une ode à l’animation et la condition humaine; une personne composée d’art qui se rencontre à travers différents médiums d’animation et de formes, pour finalement rencontrer son créateur… et peut-être n’est-ce pas la fin?

Dans nos sociétés industrialisées où tout va toujours trop vite, la ville amène parfois à être déconnecté de la nature et des uns des autres. Dans ce film, suivez un oiseau qui brisera ce cycle en se laissant émerveiller par son environnement citadin.

Les personnages du film, bien qu’ils soient des oiseaux et inspirés d’une murale de ruelle, représentent les montréalais.

À Montréal, l’art est omniprésent et essentiel. Prendre le temps de l’observer, de le valoriser et de créer sont de riches façons de répandre le bonheur dans la ville.

Description Marilou Beaudin, réalisation et animation:

Bonjour! Je m’appelle Marilou Beaudin, j’ai 22 ans et je suis la réalisatrice du film “Petits bonheurs”. Je suis originaire de la Côte-Nord et je travaille actuellement comme pigiste en motion design et en postproduction à Montréal. Dans mon travail, j’adore m’inspirer de la nature.

J’ai eu l’idée originale de “Petits bonheur” en me promenant dans mon quartier à Montréal. Comme l’oiseau héro du film, j’ai l’habitude de m’émerveiller des petites choses, que ce soit une fleur, un son, la façon dont la lumière traverse les nuages, etc. Pour la motion designer et l’humaine en moi, l’émerveillement du quotidien est essentiel à ma créativité ainsi qu’à mon bonheur. C’est ce que je souhaitais transmettre avec le film en m’inspirant du thème “Montréal et moi”.

Après une rencontre avec un ange, une jeune fille s’engage dans une série de transformations. Éprise d’esthétique, elle se met à rêver d’être divine.

Crédit :
Illustration et animation : Grace Rondon

Lorsque son amie abandonne leur plan d’exploration de Montréal, Lilly-Anne part seule, déterminée à trouver la joie dans les petites choses qui l’entourent. 

Crédit :  

Illustration, motion, développement de l’histoire : Rosalie Lanteigne 

Développement de l’histoire, montage sonore, coordination : Jade Kafieh 

Composition musicale : Lucas Etienne 

Inspiré par le film énergique allemand, Run Lola Run, City Shocks plonge dans le chaos de la vie urbaine à travers une série de vignettes interconnectées, tout en suivant un personnage naviguant dans les rues animées d’une métropole tentaculaire.

Crédit :
Animators : Mira De Koven, Saehee Yoon, Sydnie Baynes, Zahya Tétreault Bélanger Edited by Zahya Tétreault Bélanger
Story : Brigitte Brobbey , Evan Wasson , Kyla McDonald , Mira De Koven Saehee Yoon, Sydnie Baynes, Zahya Tétreault Bélanger
Production Coordinator : Sydnie Baynes
Storyboard : Mira De Koven
Background Artist : Zahya Tétreault Bélanger
Voice Actor : Brigitte Brobbey
Music : artlist.io
Sound Effects : freesound.org , Pixabay.com

Les lieux où se déroule HOW TO PLAY ZOMBIE TAG existent réellement sur l’île de Montréal, plus précisément dans la cour arrière du Collège Charlemagne, situé dans l’Ouest-de-l’Île. C’est là que se sont déroulées 13 années de mon enfance, de la prématernelle jusqu’en secondaire 5. Là où mon amour pour l’art, le dessin et l’animation a su grandir. Là où nous jouions tous les jours avec compétitivité à Zombie Tag à chaque récréation.

Crédit :
Nicolas Leclerc : Réalisateur – responsable de l’animation, la modélisation, les caméras, l’éclairage, les effets 2D, le rendu et le montage.
Nela Ruiz : Composition de la trame sonore.